Cyberattaque : mieux vaut prévenir que guérir !
Les équipes d’IDEA ont imaginé une solution pour limiter les pertes d’exploitation en cas de cyberattaque et assurer la continuité des fonctions essentielles de nos outils informatiques chez nos clients.
Océane Cueff, chargée de projets, nous parle plus en détails de cette solution.
C’est quoi, la logistique de continuité ?
C’est une solution de sauvegarde des données essentielles pour maintenir l’activité d’une entreprise lors d’imprévus tels que des cyberattaques.
D’où est partie l’idée de ce projet ?
Le projet a d’abord été proposé par Lydéric Tuaillon, responsable de site chez IDEA, lors du hackathon organisé au moment du lancement du Plan Stratégique 2025. L’idée de départ était de proposer une solution aux industriels pour permettre le maintien de l’activité quand ils sont confrontés à des dégâts physiques, comme un incendie ou une inondation. Au fil des échanges, il a noté un vrai besoin du côté des données et de leur exploitation lors de ces mêmes catastrophes ou d’une cyberattaque, qui peuvent paralyser entièrement l’activité, voire mettre l’entreprise en péril.
Comment cette solution va-t-elle sécuriser l’activité des clients ?
Lors d’un événement imprévu affectant le système informatique, notre solution préalablement paramétrée chez le client assurera la continuité des fonctions essentielles des outils informatiques IDEA. Avec un redémarrage possible sous 48 h, le client sera en mesure de poursuivre son activité.
Pour quand est prévue la sortie de cette solution ?
Avant d'envisager la sortie, il faut réaliser la phase de test. Le premier test a eu lieu début juillet sur le site de Logistiport, côté emballage et c'est une réussite ! Cet essai a permis de mettre en avant des paramètres essentiels à ne pas oublier pour les prochains tests et mises en application chez nos clients, comme la préparation en amont ou l’identification des données nécessaires à une continuité d’activité.
De gauche à droite : Julien Criado, responsable d’exploitation; Romain Guetny, responsable de secteur; François Kany, responsable de site, et Océane Cueff, chargée de projets.
